HtmlToText
derniers articles exposition de peinture au conservatoire d’antony new orleans et mardi gras philippe rochet au grand palais passion jazz presentation de l’auteur articles par catégorie exposition de peinture au conservatoire d'antony (1) mardi gras a la nouvelle orleans (1) passion jazz (1) philippe rochet au grand palais (1) presentation de l'auteur (1) articles par mois octobre 2010 mai 2010 novembre 2009 inscription aller à: [ recherche ] [ menus ] [ contenu ] [ montrer/cacher plus de contenu ] exposition de peinture au conservatoire d’antony posté par philippe rochet on 28.oct.2010 pas de commentaires exposition de peinture au conservatoire d’antony n’oubliez pas d’aller voir l’exposition au conservatoire darius milhaud d’antony qui s’intitule : « quand le jazz est là « . cette exposition aura lieu du 18 au 29 novembre 2010. si vous souhaitez joindre philippe rochet, voici son adresse mail : rochet.philippe@club-internet.fr publié dans exposition de peinture au conservatoire d'antony . new orleans et mardi gras posté par philippe rochet on 04.mai.2010 pas de commentaires new orleans et m ardi gras ne cherchez pas le jazz, il est tout autour de vous, dit philippe rochet après s’être envolé au coeur même des racines noires qui composent cette musique incroyablement envoutante. notre artiste part parfois vers les tonitruantes rues de la nouvelle orléans pour se ressourcer avec les bruits, les couleurs, l’ambiance de cette fête de mardi gras en février, qui ne dort jamais, chante et joue, de sa verve, de son tempo, de ses cris, de sa vie de jazz tant aimée et tant décriée de par le monde. s’il fallait un cocktail pour décrire le carnaval et le mardi gras de la nouvelle orléans, dit philippe rochet, ce serait du godspel, avec un zeste de jazz des rues, une pincée multicolore de masques et de paillettes, et un grand bol de notes à tous les carrefours et dans chaque ruelle. musiciens et costumes s’agitent, le tempo est partagé du plus petit jusqu’au plus vieux des noirs. s’il faut un masque pour se confondre, dit philippe, eh bien, mettons en un. l’artiste ne se tait pas ici , il crie sa musique qui vous rentre dans la peau, vous arrête, vous soulève, vous transporte sa générosité et son incroyable joie. j’en ai croisé des chars de personnages, mythiques où existants, j’en ai croisé des costumes d’or et de lumière. on vous lançe des colliers, des babioles, des bonbons, des sourires qui vous font tourner la tête. je n’ai pas eu le temps de tout dessiner, je n’ai pas eu le temps d’ouvrir assez grand mes yeux, tellement la fête et le jazz m’emmenaient vers un monde de liberté et de joie. de cabarets connus, tel palm court, où de ruelles sans fin et perdues, se promènent les instruments et leur éclat, les artistes et leur originalité sans limite. le pied tape sans cesse, les doigts claquent, on chante, on danse, on est heureux et insouciant. j’ai quand même eu le temps d’accrocher quelques unes de mes toiles à « la belle galerie », chartres street. de cette façon, se dit philippe, je vais laisser sur mes croquis mon âme et mes couleurs, et j’espère en vendre !? ah!, comme quoi il faut traverser l’atlantique pour se faire reconnaitre, c’est incroyable ça, non! voilà, c’était un petit clin d’oeil de notre artiste philippe rochet de la nouvelle orléans, où il retournera assurément! publié dans mardi gras a la nouvelle orleans . philippe rochet au grand palais posté par philippe rochet on 05.nov.2009 pas de commentaires philippe rochet expose plusieurs toiles au grand palais dans le cadre de l’exposition « art en capital » qui se tient du 3 au 9 novembre 2009. cette exposition regroupe plusieurs salons dont le salon des artistes indépendants. « publié dans philippe rochet au grand palais . passion jazz posté par philippe rochet on 03.nov.2009 pas de commentaires passion jazz il était une fois une passion. il était une fois toute une vie consacrée au jazz. voici en promenade de quelques lignes la vie passionnée de philippe rochet. très tôt, philippe commença à écouter sydney bechet et claude luter. nous sommes en 1949. c’est une découverte incroyable qui va bouleverser sa sensibilité et un peu plus tard, aiguiser son sens artistique le plus développé, la peinture. un de ses ami, victor haim, d’une fédération de jazz en loire atlantique lui fait découvrir la musique. il passe sa jeunesse comme ceux de son époque, écoutant charlie parker, dizzie gillepsie. il se met même au saxophone, si, si, mais déchante rapidement quand le solfège le tire par la manche. monsieur philippe étudie aux beaux arts de nantes, il dessine puis se met à peindre tout d’abord des natures mortes puis de petits tableaux illustrant le bord de mer. il les vend facilement. il est félicité pour ses tableaux. philippe a une prédisposition indéniable pour cet art, la peinture. le temps passe. philippe écoute un peu tous les genres musicaux, rock’n roll, rap. le jazz viendra plus tard, bien plus tard. dès qu’il le peut, il s’échappe avec sa boite de peinture et immortalise les petits ports de mer. après quelques années, lassé de peindre, philippe pose ses pinceaux. ses amis l’interrogent, le raisonnent, leurs remarques le laissent perplexe. il réfléchit puis « oui, pourquoi tout arrêter, alors que je suis si apprécié? » la vie passe et une rencontre vient bouleverser philippe. lors d’une exposition, il fait connaissances avec anny léon, maire adjoint de la ville d’antony, chargée de la culture. d’un mot à une autre rencontre, il fait la connaissance de joseph garcia, président d’antony jazz, une grande famille musicale. philippe sympatise avec les musiciens, les écoute et assis sur les marches d’une salle de spectacle ou dans un coin discret, se met à les croquer, à les dessiner quoi ! coup de foudre réel, coup de foudre qui prend des formes, qui prend des traits sur des dizaines de dessins, de petits tableaux qui sont même gagnés en fin de soirée lors de tombolas. c’est une consécration pour philippe: il peint le jazz. c’est alors qu’un deuxième coup de foudre se produit : il s’envole et pas pour n’importe quel voyage, il part pour la nouvelle orléans. là, philippe n’en revient pas; à tous les étages, le jazz, dans la rue, le jazz. une musique continue, les noirs, les instruments divers, saxo, washboard, piano, banjo, accordéon, clarinette, batterie, guitare, trompette. on jour n’importe ou, à n’importe quelle heure, gratuitement, une liesse permanente. philippe est fou de joie. cette musique qui vient des tripes le prend aussi au passage. le séjour à la nouvelle orléans est trop court. philippe s’est fait des amis; il reviendra. « c’est vraiment pas croyable, cette folie du jazz qu’ils ont dans les veines, ces gars là ». il y retournera, monsieur philippe, à la nouvelle orléans. en attendant, il regarde et écoute du jazz devant la télévision dans son salon. il faut bien retrouver l’ambiance de la nouvelle orléans, que diable ! puis philippe traîne dans les cabarets, là où le jazz ne se cache pas et même explose. il promène ses pinceaux au new morning, au duc des lombards, écoute désormais herbie hancock, larry carlton, pat metheny, lee ritenour ou steve coleman. la peinture de philippe rochet a pris un immense élan. des tableaux, il en fait des dizaines, des petits, des grands, des très grands avec tout un orchestre. il expose souvent et paris est en train de le découvrir. sa peinture est unique, tout comme lui. il jette la couleur des sons comme des cris d’instrument. tout s’agite sur les toiles dans tous les sens, en rythme de coups de pinceaux effrénés! sa peinture, ajoutée à son écoute du jazz, offre un engouement de grand artiste. tout le monde y passe. miles davis, al jarreau, ray charles, des orchestres entiers, des chanteuses noires, croquées en pleine liesse. monsieur philippe hante paris et ses petites formations. dites moi, cela valait bien quelques lignes et quelques compliments, non ? ah! oui, une petite anecdote amusante, son engouement est tel pour les artistes de jazz que parf